Il s'agit de Saint Claude La Colombière, nommé l’apôtre du Cœur de Jésus. Il fut le père spirituel de Sainte Marguerite-Marie, à qui Jésus apparut au XVIIe siècle en lui montrant son Cœur qui nous aime tant.
« Dieu soit béni éternellement, qui daignez nous éclairer [...], par la lumière des personnes qui communiquent plus intimement avec Lui »
Claude à propos de Marguerite-Marie.
« Je crois que c’est pour cela [ le développement de la dévotion au Cœur de Jésus ] que Jésus avait choisi ce bienheureux ami de Son cœur, pour l’accomplissement de ce grand dessein, pour l’ardent désir que Dieu a, par ce moyen, de communiquer Son amour et Ses grâces. »
écrivit plus tard Marguerite-Marie à propos de Claude La Colombière. Et :
« Jésus me dit de m’adresser à Son serviteur qu’Il m’avait envoyé pour l’accomplissement de ce dessein. »
Méditant l’amour du Sauveur en Sa Passion, Claude s’étonne que Jésus ait tant souffert. Dans la prière il pose la question :
Méditant l’amour du Sauveur en Sa Passion, Claude s’étonne que Jésus ait tant souffert. Dans la prière il pose la question :
« N’est-ce pas trop, mon adorable Sauveur ! Oui, vous répondra-t-Il, c’est trop pour apaiser mon Père, [...] trop pour effacer tous les péchés de la Terre ; mais ce n’est pas assez pour toucher ton cœur. »
« Prenons les sentiments de ce Cœur tendre et généreux ».
« Que le Cœur de Jésus soit notre école [...] Étudions-en les mouvements et tâchons d’y conformer le nôtre. »
« Je Vous demande Vos prières, ô doux Jésus [...] ne me les refusez pas, à moi qui souhaite de Vous aimer, d’aimer même la croix et mes ennemis pour l’amour de Vous. »
« Ce Cœur est encore, autant qu’il le peut être, [...] toujours brûlant d’amour pour les hommes, toujours ouvert pour répandre sur eux toute sorte de grâces et de bénédictions, toujours touché de nos maux, toujours pressé du désir de nous faire part de ses trésors et de se donner Lui-même à nous, toujours disposé à nous recevoir et à nous servir de demeure, de paradis dès cette vie. »
« Il aime, et Il n’est point aimé. »
« Je Vous offre mon cœur, avec tous les mouvements dont il est capable, je me donne tout entier à Vous ».
« Sacré Cœur de jésus, apprenez-moi le parfait oubli de moi-même, puisque c’est la seule voie par où l’on peut entrer en Vous. »
« Puisque tout ce que je ferai à l’avenir sera à Vous, faites en sorte que je ne fasse rien qui ne soit digne de Vous. »
« Le pis qui puisse arriver, c’est de mourir en servant Dieu et le prochain, je ne vois pas que cela doive faire peur à personne. »
« Un homme à qui Dieu donne un véritable désir de Le suivre ne doit se troubler de rien. »
« Il y a bien des pas à faire pour arriver à la sainteté ; [...] à chaque pas qu’on fait, [...] après qu’on l’a fait on trouve que ce n’est rien, et qu’on n’a pas encore commencé.
Il y a encore un pas à faire, qui est de se détacher de soi-même, de ne chercher que Dieu dans Dieu même, [...] de ne chercher [ dans la sainteté ] que le pur intérêt de Dieu. »
« Qu’il est digne pour une âme chrétienne de souffrir une confusion qu’on pourrait éviter et de se contenter d’avoir Dieu seul pour témoin d’une vérité qui nous avantageuse ! Mon Dieu, je veux me faire saint entre Vous et moi. »
« Je me trouve élevé au-dessus de tous les rois de la Terre pour l’honneur que j’ai d’être à Dieu. »
« A la méditation de l’Amour de Dieu j’ai été fort touché à la vue des biens que j’ai reçus de Dieu depuis le premier moment de ma vie jusqu’ici. Quelle bonté ! Quel soin ! [...] Quelle patience ! Quelle douceur ! »
« Ayez cette ferme confiance qu’en quelque état qu’il plaise à Dieu de vous mettre, Il ne manquera jamais de vous y donner de grands secours. Vous êtes à Lui. »
Saint Claude La Colombière, Lettres et notes de retraite.
Décédé à 41 ans le 15 février 1682 à Paray-le-Monial.
Source : Livre « A l’école du Cœur de Jésus avec Saint Claude La Colombière », Père Gérard Dufour, Editions de l’Emmanuel.
« Que le Cœur de Jésus soit notre école [...] Étudions-en les mouvements et tâchons d’y conformer le nôtre. »
« Je Vous demande Vos prières, ô doux Jésus [...] ne me les refusez pas, à moi qui souhaite de Vous aimer, d’aimer même la croix et mes ennemis pour l’amour de Vous. »
« Ce Cœur est encore, autant qu’il le peut être, [...] toujours brûlant d’amour pour les hommes, toujours ouvert pour répandre sur eux toute sorte de grâces et de bénédictions, toujours touché de nos maux, toujours pressé du désir de nous faire part de ses trésors et de se donner Lui-même à nous, toujours disposé à nous recevoir et à nous servir de demeure, de paradis dès cette vie. »
« Il aime, et Il n’est point aimé. »
« Je Vous offre mon cœur, avec tous les mouvements dont il est capable, je me donne tout entier à Vous ».
« Sacré Cœur de jésus, apprenez-moi le parfait oubli de moi-même, puisque c’est la seule voie par où l’on peut entrer en Vous. »
« Puisque tout ce que je ferai à l’avenir sera à Vous, faites en sorte que je ne fasse rien qui ne soit digne de Vous. »
« Le pis qui puisse arriver, c’est de mourir en servant Dieu et le prochain, je ne vois pas que cela doive faire peur à personne. »
« Un homme à qui Dieu donne un véritable désir de Le suivre ne doit se troubler de rien. »
« Il y a bien des pas à faire pour arriver à la sainteté ; [...] à chaque pas qu’on fait, [...] après qu’on l’a fait on trouve que ce n’est rien, et qu’on n’a pas encore commencé.
Il y a encore un pas à faire, qui est de se détacher de soi-même, de ne chercher que Dieu dans Dieu même, [...] de ne chercher [ dans la sainteté ] que le pur intérêt de Dieu. »
« Qu’il est digne pour une âme chrétienne de souffrir une confusion qu’on pourrait éviter et de se contenter d’avoir Dieu seul pour témoin d’une vérité qui nous avantageuse ! Mon Dieu, je veux me faire saint entre Vous et moi. »
« Je me trouve élevé au-dessus de tous les rois de la Terre pour l’honneur que j’ai d’être à Dieu. »
« A la méditation de l’Amour de Dieu j’ai été fort touché à la vue des biens que j’ai reçus de Dieu depuis le premier moment de ma vie jusqu’ici. Quelle bonté ! Quel soin ! [...] Quelle patience ! Quelle douceur ! »
« Ayez cette ferme confiance qu’en quelque état qu’il plaise à Dieu de vous mettre, Il ne manquera jamais de vous y donner de grands secours. Vous êtes à Lui. »
Saint Claude La Colombière, Lettres et notes de retraite.
Décédé à 41 ans le 15 février 1682 à Paray-le-Monial.
Source : Livre « A l’école du Cœur de Jésus avec Saint Claude La Colombière », Père Gérard Dufour, Editions de l’Emmanuel.
Confiance et oubli de soi, profonde humilité et parfait ami du Seigneur : voici l'essentiel de son message. Un ami au Ciel.