Plus un homme est pur, simple et stable, moins il se disperse dans la multiplicité des choses à faire, parce qu’il fait tout pour l’honneur de Dieu, et il expérimente le repos de ne jamais lutter pour suivre ses propres projets. En effet, ce qui te freine et te pèse le plus, n’est-ce pas l’attachement de ton cœur à des choses que tu aurais dû laisser tomber ?
L’homme bon et dévot commence par envisager de l’intérieur ce qu’ensuite il devra faire à l’extérieur, afin de ne pas se laisser entraîner [...], mais pour que ce soit lui qui oriente ces désirs selon le jugement de la raison et avec une intention droite. »