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Une joie indicible


Ces mots, écrits pour des personnes qui vont faire une confession générale demain matin, pour les encourager. 

La clé, se confesser par Amour. 

Ces mots m'avaient tant aidée : " le péché, c'est abandonner Notre-Seigneur."

Et après, quelle joie. La joie la plus pure et profonde jamais ressentie
Indicible
Plus d'obstacle entre notre âme et celle de Notre-Seigneur 

Pour le coeur du prêtre aussi j'imagine.


Saint curé d'Ars :

« Le bon Dieu au moment de l’absolution jette nos péchés par-derrière ses épaules, c’est-à-dire il les oublie, il les anéantit : ils ne reparaîtront plus jamais. »

« Quand on va se confesser, il faut comprendre ce qu'on va faire. On peut dire qu'on va déclouer Notre-Seigneur. »

« Le bon Dieu veut nous rendre heureux, et nous ne le voulons pas ! »

« Il faut mettre plus de temps à demander la contrition qu’à s’examiner. »

« Le centre en est l’église, et dans l’église le tabernacle, et, à côté, le confessionnal où les âmes mortes retrouvent la vie », en décrivant sa paroisse.

« Le bon Dieu tend la main et donne sa grâce à ceux qui la Lui demandent. »


Et ces mots de Saint François de Sales

« Les effets des Sacrements sont divers, quoiqu’ils n’aient tous qu’une même fin et prétention, qui est de nous unir à Dieu. [...]

La première préparation, c’est la pureté de l’intention ; la seconde, c’est l’attention ; et la troisième, c’est l’humilité.
Quant à la pureté d’intention, c’est une chose totalement nécessaire, non seulement à la réception des Sacrements, mais en tout ce que nous désirons ou que nous faisons [...] Vous connaîtrez cela si quand vous désirez de communier l’on ne vous le permet pas ; ou bien si après la sainte Communion vous n’avez point de consolation, et nonobstant tout cela, vous demeurez en paix [...]

La seconde préparation, c’est l’attention. O Dieu ! que nous devrions aller aux Sacrements avec beaucoup d’attention, tant sur la grandeur de l’œuvre, comme sur ce qu’un chacun demande de nous ! Par exemple, allant à la Confession, nous y devons porter un coeur amoureusement douloureux, et à la sainte Communion, il y faut porter un coeur ardemment amoureux. »