Joie toujours indicible et profonde de la confession. Vraiment. Je ne peux m'empêcher d'en parler.
Une fois par mois, c'est bien. Là cela faisait deux semaines, mais juste avant le Triduum Pascal, pas de meilleur moment, alors saisir l'occasion.
Quand l'abbé vous confesse régulièrement, il vous connaît, comprend mieux, et ses conseils sont mieux adaptés pour vous.
Avant, un bon moment de prière, pour demander d'être éclairé, et demander la contrition.
Après, un bon moment de prière (on n'arrive pas à arrêter) pour remercier, noter les conseils de l'abbé (papier stylo), parfois des résolutions : le fameux et charmant petit bouquet spirituel de Saint François de Sales
On repart léger et heureux. L'âme en état de grâce, plus proche du Bon Dieu, plus réceptive à ses inspirations, plus généreuse.
Deo Gratias.
« Quand on va se confesser, il faut comprendre ce qu’on va faire. On peut dire qu’on va déclouer Notre-Seigneur. »
Saint curé d’Ars.
Jean XXIII, 1959.
Le coeur redevient pur, transparent et reflète le Bon Dieu. Il n'y a plus d'obstacle entre l'âme et Dieu, et la joie de l'âme est alors immense.