« Ce n'est point tant ce qu'on fait qui importe, mais la façon dont on le fait »
« C'est surtout quand tu te sens anéanti par une lourde peine qu'il est bon d'aller consoler autrui de ses peines. Se donner, à de pareilles heures, quand on n'est plus rien, quand en soi l'on n'a plus rien, c'est vraiment donner un peu de Dieu... et Le trouver »
« Seigneur, je crois à Ta bonté plus qu'à la réalité même qui me fait souffrir »
« Mais Dieu veille la nuit sur ses enfants. Il est le grand veilleur de toutes les nuits [...] Qui peut dire avec quel amour Il nous veille ? Cet amour a un nom et une qualité. C'est un amour infini »
« Si tu sais prendre sur toi la douleur d'autrui, le Seigneur prendra sur Lui la tienne et la fera sienne, c'est-à-dire ouvrière de salut ... »
« Heureux ceux qui aiment Dieu, car ils ne songent même plus à se demander s'ils sont heureux ou malheureux »
« Notre mort doit être le plus grand acte de notre vie. Mais Dieu peut se trouver seul à le savoir ... »
Bienheureux Mgr Vladimir Ghika. 1873 - 1954.
Sa vie est magnifique.
Il meurt d'épuisement en prison, après avoir rayonné de paix et de joie grave, selon les personnes incarcérées avec lui.
« C'est l'homme en qui j'ai vu la liberté véritable. Jamais je ne l'ai vue chez un autre à ce degré. Pour lui, les murs de la prison n'existaient pas. Il était libre, parce qu'il faisait la volonté de Dieu ».
Voir ici la lettre de l'abbaye Saint-Joseph de Clairval, à propos de ce Bienheureux si inspirant. Je vous encourage à la lire.