Accéder au contenu principal

Une joie profonde


« Je ne peux tenir que par le Bon Dieu, qui est mon tout premier refuge, donc par des temps de prière et d’adoration.

J’avoue, il m’arrive parfois de partir en moto pour hurler dans mon casque, et pourtant, tous ceux qui passent nous voir dans nos centres vous le diront : il règne sur place une atmosphère de joie incroyable, voire surnaturelle. C’est inouï, malgré tous les malheurs traversés par les enfants [...]

Cette joie pour moi, elle est vécue par l’union avec le Christ, qui a souffert pour nous sur la Croix. »

Père Matthieu Dauchez. 


Source : article Aleteia.