Saint Augustin, Père de l'Eglise. Ve siècle.
« Qui aime la vie et désire voir des jours heureux ? »
Règle de Saint Benoît. VIe siècle.
« Car l’homme devient nécessairement heureux par ce qui le rend bon. »
Saint Augustin, Père de l'Eglise.
« La bonne humeur jaillit d’une conscience pure et d’un cœur généreux. »
« La bonne humeur jaillit d’une conscience pure et d’un cœur généreux. »
Monseigneur Chevrot, 1879 - 1958. Les petites vertus du foyer.
« L'homme a une belle fonction, celle de prier et d'aimer. Vous priez, vous aimez : voilà le bonheur de l'homme sur la terre ! »
« L'homme a une belle fonction, celle de prier et d'aimer. Vous priez, vous aimez : voilà le bonheur de l'homme sur la terre ! »
Saint curé d'Ars. 1786 - 1859.
« L'ascèse prépare l'âme à la contemplation. [...] Les moines de Fontgombault respirent pourtant la joie. La lumière de leur regard ne trompe pas. »
« Oh ! oui, ma Sœur, « Vivons d'amour ». C'est le moyen de trouver du bonheur sur la terre.
« L'ascèse prépare l'âme à la contemplation. [...] Les moines de Fontgombault respirent pourtant la joie. La lumière de leur regard ne trompe pas. »
Nicolas Diat. Le grand bonheur. 2020.
« Dans le dessein de Dieu, l'homme est appelé à vivre en communion avec Lui.
Les cœurs sont appelés à se donner à Dieu, pour leur plus grand bonheur. »
Les cœurs sont appelés à se donner à Dieu, pour leur plus grand bonheur. »
Notes de retraite, printemps 2019.
Sans Dieu, sans son Amour - qu'il fait froid autour de nous. Mais dès qu'une sainte ferveur anime nos cœurs, quelle sérénité et douceur de la vie - C'est bien en effet le repos sur les flots orageux, c'est vivre de la vie du Roi Glorieux - commencer sur terre le bonheur du Ciel.
Et la peine n'est plus - car, ainsi que parle le Saint : quand on aime, il n'y a plus de peine, ou s'il y a de la peine, c'est une peine qu'on aime. »
Lettre de l'abbé Bellière à Thérèse de Lisieux, l'un des deux jeunes abbés avec qui elle eut une correspondance. Extraits. Janvier 1897.
« C’est seulement en faisant Sa volonté que nous serons à la fin vraiment heureux. »
Benoît XVI, le 17 août 2011.