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Articles

Affichage des articles du janvier, 2025

« Dieu veille la nuit sur ses enfants »

« Qui se dépouille pour autrui, se revêt du Christ » « Ce n'est point tant ce qu'on fait qui importe, mais la façon dont on le fait » « C'est surtout quand tu te sens anéanti par une lourde peine qu'il est bon d'aller consoler autrui de ses peines. Se donner, à de pareilles heures, quand on n'est plus rien, quand en soi l'on n'a plus rien, c'est vraiment donner un peu de Dieu... et Le trouver » « Seigneur, je crois à Ta bonté plus qu'à la réalité même qui me fait souffrir » « Mais Dieu veille la nuit sur ses enfants. Il est le grand veilleur de toutes les nuits [...] Qui peut dire avec quel amour Il nous veille ? Cet amour a un nom et une qualité. C'est un amour infini » « Heureux ceux qui aiment Dieu, car ils ne songent même plus à se demander s'ils sont heureux ou malheureux » « Notre mort doit être le plus grand acte de notre vie. Mais Dieu peut se trouver seul à le savoir ... » Bienheureux Mgr Vladimir Ghika. 1873 - 1954. Sa vie est m...

« Ce coeur que Vous m'avez donné »

« Ce coeur que Vous m'avez donné, où puis-je mieux le placer que dans le Vôtre ? C'est là que je le dépose, ô mon doux Jésus, c'est là que je veux habiter et que je veux prendre mon repos. » Saint Benoît-Joseph Labre, XVIIIe siècle.

Une âme pure

« On fait du bien, non dans la mesure de ce que l'on dit, et de ce que l'on fait, mais dans la mesure de ce que l'on est, dans la mesure en laquelle Jésus vit en nous » Saint Charles de Foucauld. Lettres et carnets.

« Si ta foi, cher enfant, est si grande et si haute »

Prière du Roi Baudouin de Belgique «  Qu'importe si je dois boire un amer calice, Et si je sens mon coeur triste jusqu'au trépas: Puisque c'est toi, Jésus, qui veux le sacrifice, Moi, je ne compte pas. A ton gré, mon Jésus, laisse tomber le voile, Montre-moi ta beauté, serre-moi dans tes bras, Ou du ciel obscurci dérobe chaque étoile: Moi, je ne compte pas. Donne-moi, mon Jésus, ta paix ou la tempête, Couronne mes efforts, ou ne me soutiens pas, Sous le poids des douleurs laisse courber ma tête: Moi, je ne compte pas. Que mon coeur soit meurtri, même par ceux que j'aime, Qu'importe mon Jésus, puisque tu m'aimeras ! Que le bien que je fais soit soupçonné lui-même: Moi, je ne compte pas. Si d'incessants labeurs tu veux que je t'honore, Ou si je dois languir dans l'impuissance, hélas ! Qu'importe, mon Jésus ! Tu le veux: je t'adore ! Moi, je ne compte pas. Si je dois achever de gravir le calvaire, Si le Cyrénéen manque même à mes pas, Qu'imp...

« Ô Toi qui nous as aimés le premier »

« Je cours pour saisir Celui par qui j’ai été saisi, c’est-à-dire Pour T’aimer enfin parfaitement, Ô Toi qui nous as aimés le premier, Seigneur aimable et digne d’être aimé. » Bienheureux Guillaume de Saint-Thierry, XIIe siècle. Moine et abbé bénédictin puis cistercien, grand ami de Saint Bernard de Clairvaux. 

L'écho du Silence

Sa grâce est un peu l'écho du Silence. Un Silence intérieur, d'une âme pure, qui aime Notre-Seigneur. « En chartreuse, nous ne recherchons pas le silence, mais l'intimité avec Dieu par le moyen du silence. » Dom Dysmas de Lassus, Prieur des Chartreux. « Et il y a en Lui, en Son silence, une paix infinie. » Père Charles Journet.  Seconde photo : un été à l'aube. Seule avec Dieu.  Bientôt, en attendant la permission d'un lecteur, de magnifiques mots sur le Silence, écrits par une jeune carmélite rappelée à Dieu très jeune à la fin du XIXe. C'est si beau. L'âme se met à genoux et adore. 

Humilité et douceur

«   - Je vous dis que vous serez fidèle si vous êtes humble. - Mais serai-je humble ? - Oui, si vous le voulez. - Mais je le veux. - Vous l'êtes donc. - Mais je sens bien que je ne le suis pas. - Tant mieux, car cela sert à l'être plus assurément.  »  Saint François de Sales, Docteur de l'Eglise .  Lettre à une carmélite. 

En hommage d'Amour

Pour bien commencer l'année et la remettre à Dieu. Pour L'écouter. Pour Lui demander la Paix et l'Espérance. Pour Lui demander d'être docile à Sa grâce. Prière que j'aime beaucoup, récitée par notre abbé devant le Saint Sacrement. Ecrite par Saint Jean de la Croix. On peut terminer par un Notre-Père. Je la dis au réveil, et en m'endormant. « Prenez-moi, Seigneur, Dans la richesse divine de votre silence, Plénitude capable de tout combler en mon âme. Faites taire en moi ce qui n'est pas de Vous, Ce qui n'est pas votre présence toute pure, Toute solitaire, toute paisible ! [...] Imposez même votre silence à ma prière, Pour qu'elle soit pur élan vers Vous. Faites descendre votre silence Jusqu’au fond de mon être, Et faites remonter ce silence Vers Vous, en hommage d'Amour ! Ainsi soit-il » Photo : une belle église à la campagne près de Paray. Envoyée par mon parrain hier. Merci. Eglise romane, du XIIe siècle.