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Affichage des articles du novembre, 2024

Un Amour infini

«  Méditant l’amour du Sauveur en Sa Passion, Claude s’étonne que Jésus ait tant souffert. Dans la prière il pose la question : N’est-ce pas trop, mon adorable Sauveur !  Oui, vous répondra-t-Il, c’est trop pour apaiser mon Père, [...] trop pour effacer tous les péchés de la Terre ; mais ce n’est pas assez pour toucher ton cœur. » Extrait du magnifique livre sur Saint Claude La Colombière du Père Gérard Dufour. On peut le trouver dans la chapelle Saint Claude La Colombière à Paray, si belle, où repose le Saint. 

Comme une rose

Cette rose. Pureté et joie du coeur. Elle est douce. Paisible. Pour faire simple : immobile, grâce à ses feuilles et leur chlorophylle (données par Dieu au départ), elle transforme doucement la lumière (donnée par Dieu à tout moment, comme la grâce) en oxygène et en "vie". Et elle s'épanouit. Elle devient ce que Dieu avait prévu. Elle émerveille. Elle renvoie la joie de l'âme vers Dieu. On devrait être ainsi. Jour si rude, offert dans le désert, que penser à cela adoucit la peine. Saint François de Sales aimerait cette image.

Profondément épris de Dieu

«  La vie secrète qui se nourrit de contemplation, de prière, a son rayonnement jusque dans l'action, jusque dans l'action apostolique et jusque dans l'action temporelle. De telles actions ne peuvent naître que dans les cœurs profondément épris de Dieu.  » Dom Gérard Calvet, abbaye du Barroux.  Conférence à des séminaristes du 11 mars 1999 : un appel à la vie intérieure.  Source : Notre-Dame de Chrétienté. 

Avec amour

« Dire le Saint Office avec un soin extrême ; c'est le bouquet quotidien de roses fraîches, symbole d'amour toujours jeune, offert chaque jour au Bien-Aimé. » Saint Charles de Foucauld. Lettres et carnets. 

La vie éternelle

Sermon de Saint Bède le Vénérable « Aujourd’hui, bien-aimés, dans la joie d’une seule solennité, nous célébrons la fête de tous les saints. Le ciel exulte de leur société ; la terre est heureuse de leur patronage ; la sainte Eglise est couronnée de leur victoire. Leur confession de foi est d’autant plus à l’honneur qu’elle a été plus ferme à la peine. Car, tandis que le combat augmente de violence, augmente aussi la gloire des combattants ; le triomphe du martyre s’embellit de la multiple diversité des souffrances ; et le poids de la récompense correspond au poids des tourments. [...] O vraiment bienheureuse mère Eglise ainsi honorée et illuminée de la divine condescendance, parée du sang glorieux des martyrs vainqueurs, revêtue de la blanche virginité d’une confession de foi inviolée. A ses fleurs ne manquent ni les roses ni les lis. Et maintenant, bien-aimés, que chacun rivalise pour recevoir la plus abondante dignité de ces deux honneurs, les couronnes blanches de la virginité, ou l

Au Ciel

Au Ciel, Les coeurs les plus aimants, profondément, et purs, seront probablement les plus proches de Notre-Seigneur. Ils sont peut-être, leur âme, proches de Lui ici, sans le savoir.